Passé Présent
Passé-Présent n°275 : La prise d'Alger par les Français en 1830
Raphaël l'intemporel
2020 marque le 500è anniversaire de la mort de Raffaello Sanzio dit Raphaël (1483-1520), aussi Philippe Conrad dresse le portrait et l'itinéraire de ce génie de la peinture, également architecte officiel de la papauté et directeur de fouilles romaines qui, dans le domaine pictural, assura la conjonction entre héritage de l'Antiquité et inspiration chrétienne, dans un style intemporel où se conjuguent grâce et harmonie.La prise d'Alger par les Français en 1830
Un affront diplomatique consécutif à un conflit commercial provoqua l'intervention militaire de troupes envoyées par Charles X dans la ville d'Alger dont les turcs restaient maîtres depuis le début du 16è siècle. Plusieurs fois attaquée par les européens afin d'annihiler les exactions des corsaires barbaresques réduisant les chrétiens captifs en esclavage, la ville d'Alger ne fut pourtant jamais conquise avant ce 5 juillet 1830 où une expédition de 35000 soldats escortés par près de 100 vaisseaux de guerre eut raison de la résistance du Dey. C'est cet épisode que nous conte aujourd'hui Anne Sicard.Les grands militaires français de la guerre 1914-1918
L'invité de Philippe Conrad, Bernard Zeller, fils et petit-fils de généraux d'Armée, publie les souvenirs de son grand-père Léon Zeller, important chef militaire de la 1ère guerre mondiale où il côtoya les maréchaux Foch, Pétain, Joffre et le général de Castelnau. Ces souvenirs - livrés en 2 tomes - sondent les tempéraments de ces acteurs majeurs du conflit et en soulignent les différences. Général Léon Zeller - Editions Economica - Tome 1 : Souvenirs sur les maréchaux Foch et Pétain. Tome 2 : Souvenirs sur le maréchal Joffre et le général de Castelnau.Le Nouveau Passé-Présent avec Pierre Le Vigan : Relire Clausewitz et penser la guerre
La guerre est là. Tout près. En Ukraine, au Proche-Orient, en Arménie. Et demain ? La guerre fait partie des constantes de l’histoire. Des intérêts économiques, territoriaux et symboliques sont en jeu. Au sein desquels les montées aux extrêmes sont possibles. Pour la cohésion de la nation, la guerre est l’épreuve de vérité. Tout cela, Clausewitz l’a pensé. Officier, théoricien et historien de la guerre, Carl von Clausewitz a vécu les guerres de la Révolution et de l’Empire. Il a vu la collaboration des élites allemandes avec Napoléon. Si depuis, les moyens de destruction ont été multipliés, les constantes politiques liées à la guerre subsistent. Une analyse de Pierre Le Vigan, auteur de " Clausewitz, père de la théorie de la guerre moderne" paru aux éditions Perspectives libres.
Connexion
Afin d'utiliser cette fonctionnalité, vous devez vous connecter :