Passé Présent

Passé-Présent n°275 : La prise d'Alger par les Français en 1830

Publiée le 07/07/2020

Raphaël l'intemporel

2020 marque le 500è anniversaire de la mort de Raffaello Sanzio dit Raphaël (1483-1520), aussi Philippe Conrad dresse le portrait et l'itinéraire de ce génie de la peinture, également architecte officiel de la papauté et directeur de fouilles romaines qui, dans le domaine pictural, assura la conjonction entre héritage de l'Antiquité et inspiration chrétienne, dans un style intemporel où se conjuguent grâce et harmonie.

La prise d'Alger par les Français en 1830

Un affront diplomatique consécutif à un conflit commercial provoqua l'intervention militaire de troupes envoyées par Charles X dans la ville d'Alger dont les turcs restaient maîtres depuis le début du 16è siècle. Plusieurs fois attaquée par les européens afin d'annihiler les exactions des corsaires barbaresques réduisant les chrétiens captifs en esclavage, la ville d'Alger ne fut pourtant jamais conquise avant ce 5 juillet 1830 où une expédition de 35000 soldats escortés par près de 100 vaisseaux de guerre eut raison de la résistance du Dey. C'est cet épisode que nous conte aujourd'hui Anne Sicard.

Les grands militaires français de la guerre 1914-1918

L'invité de Philippe Conrad, Bernard Zeller, fils et petit-fils de généraux d'Armée, publie les souvenirs de son grand-père Léon Zeller, important chef militaire de la 1ère guerre mondiale où il côtoya les maréchaux Foch, Pétain, Joffre et le général de Castelnau. Ces souvenirs - livrés en 2 tomes - sondent les tempéraments de ces acteurs majeurs du conflit et en soulignent les différences. Général Léon Zeller - Editions Economica - Tome 1 : Souvenirs sur les maréchaux Foch et Pétain. Tome 2 : Souvenirs sur le maréchal Joffre et le général de Castelnau.

Le Nouveau Passé-Présent - Diên Biên Phu : chronique d'une défaite annoncée

Publiée le 07/05/2024

7 mai 1954, il y a 70 ans jour pour jour, au nord du Vietnam, près de la frontière avec le Laos, la bataille de Diên Biên Phu se termine. Elle oppose depuis le 13 mars les combattants du Viêt Minh et l'armée française prise à son propre piège. Assiégés, les combattants du corps expéditionnaire français en Extrême-Orient et les troupes autochtones vont vivre plusieurs semaines d’enfer. Les survivants, prisonniers, connaîtront ensuite une captivité souvent inhumaine. Quelles sont les raisons de cette catastrophe, de cette cuisante défaite ? Explications en compagnie du professeur François Cochet, co-auteur de "La guerre d'Indochine - Dictionnaire" (éditions Perrin).

 

La Revue d'Histoire européenne