Passé Présent
Passé-Présent n°255 : Aux origines de la République française
La corruption sous la Terreur
Enrichissements illicites, pots de vin, spéculations généralisées, détention de fonds secrets, Philippe Conrad dresse un bilan de la corruption en France dans les années 1790, incarnée par des personnages qui se drapaient pourtant de vertus romaines qu'ils se plaisaient à revendiquer publiquement.Weygand l'intransigeant
Max Schiavon en publiant une dense biographie du général Maxime Weygand (Weygand l'intransigeant - Tallandier - 592 p. - 26,50 €) nous donne à lire, tel un roman, son long parcours (1867-1965), depuis le mystère de sa naissance définitivement éclairé, jusqu'à son accession au sommet de la hiérarchie militaire, et ce, grâce à des archives et correspondances familiales inédites dont ses descendants ont autorisé l'exploitation.Le Nouveau Passé-Présent avec Pierre Le Vigan : Relire Clausewitz et penser la guerre
La guerre est là. Tout près. En Ukraine, au Proche-Orient, en Arménie. Et demain ? La guerre fait partie des constantes de l’histoire. Des intérêts économiques, territoriaux et symboliques sont en jeu. Au sein desquels les montées aux extrêmes sont possibles. Pour la cohésion de la nation, la guerre est l’épreuve de vérité. Tout cela, Clausewitz l’a pensé. Officier, théoricien et historien de la guerre, Carl von Clausewitz a vécu les guerres de la Révolution et de l’Empire. Il a vu la collaboration des élites allemandes avec Napoléon. Si depuis, les moyens de destruction ont été multipliés, les constantes politiques liées à la guerre subsistent. Une analyse de Pierre Le Vigan, auteur de " Clausewitz, père de la théorie de la guerre moderne" paru aux éditions Perspectives libres.
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