Le samedi politique

Le Samedi Politique avec le Pr Christian Perronne – Covid 19 "On n’est plus dans l’Etat de droit"

Publiée le 01/05/2021
Depuis le début de la crise sanitaire, le professeur Christian Perronne est monté au créneau pour dénoncer les décisions prises par le gouvernement dans sa gestion de crise sanitaire du Covid-19. Après un premier opus en 2020, "Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ?" chez Albin Michel, il publie cette année, "Décidément, ils n’ont toujours rien compris". (Disponibles sur la boutique officielle de TVLibertés) Il étrille le pouvoir politique en place dans son refus de prendre en considération les opportunités thérapeutiques, préférant renvoyer des patients malades avec du Doliprane, dénonce l’évaporation des stocks stratégiques de masques qu’il avait lui-même contribué à mettre en place lorsqu’il conseillait le ministère de la Santé lors des gouvernements précédents, et pointe du doigt les fléaux qui ont sérieusement secoué la médecine : les conflits d’intérêts de certains médecins médiatiques avec les laboratoires pharmaceutiques, et l’autoritarisme du Conseil de l’ordre. Une liberté de ton qui lui a coûté son poste de chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches qu’il occupait depuis 25 ans. Dans cet entretien, le professeur Perronne revient également sur l’obsession de la vaccination, le fameux passeport santé qui approche à grands pas et répond aux accusations de complotisme. Un entretien sans concession sur TVLibertés !

Le Samedi Politique avec Didier Maïsto - Guerre, JO, Covid : Macron ou le pouvoir de la peur !

Publiée le 27/04/2024

La France sombre-t-elle petit à petit dans l’autoritarisme ? C’est la question que l’on pourrait se poser à en juger la censure et l’autocensure pratiquées dans les médias du Système comme l’a confessé fièrement Adèle Van Reeth, la patronne de France Inter, il y a quelques jours. De plus en plus, une doxa s’impose et interdit toutes pensées en dehors de la ligne du pouvoir. Aucune critique quant à la politique étrangère sur la question ukrainienne n’est tolérée. Les questions sociétales, à l’image de la GPA, la gestation pour autrui, sont recouvertes d’un halo de bien-pensance et toutes remarques à rebours de la parole unique sera vouée aux gémonies, diabolisée, raillée et caricaturée.

A l’image du verrouillage totale de la parole pendant la période du Covid-19, la chape de plomb s’abat sur la presse et sur les esprits. Emmanuel Macron règne alors en maître diffusant l’unique bonne parole, parsemée de mensonges et de paradoxes, comme l’a encore démontré le discours de la Sorbonne à quelques semaines des élections européennes.

Ceux qui résistent, après avoir été éborgnés et mutilés dans les rues pendant les manifestations de Gilets Jaunes, sont parfois arrêtés chez eux et placés en garde à vue pour des méfaits imaginaires, des adversaires politiques sont convoqués par la justice ou des officines du pouvoir, des voix discordantes sont salies, souillées. 

Tout est fait pour que vous rentriez dans le rang et les Jeux olympiques vont s’illustrer en nouveau test de dressage et de domestication grandeur nature.

Le journaliste et ancien patron de Sud Radio, Didier Maïsto, ne cède rien à l’oppression ambiante. Il décrypte, démonte et dénonce le poids du pouvoir qui accable les libertés individuelles et appelle à un grand sursaut.