Le samedi politique

Le Samedi Politique avec François Asselineau - Pass-vaccinal, présidentielle, UE : l’enfer macronien

Publiée le 22/01/2022
Le gouvernement d’Emmanuel Macron poursuit dans l’aberration autoritaire. Alors que les cas de variant Omicron explosent, les malades dans les hôpitaux sont stables et la situation sanitaire semble enfin offrir une sortie de crise. Pourtant, l’exécutif instaure un pass-vaccinal aussi inutile que discriminatoire avec l’aval du Conseil constitutionnel, dont le président Laurent Fabius n’est pas exempt de potentiels conflits d’intérêts avec son fils Victor, directeur associé au cabinet McKinsey. Le temps passe et les libertés confisquées ne sont jamais rendues aux Français sans que cela n’émeuve l’essentiel de la classe politique. De son côté, Emmanuel Macron, pas encore candidat pour sa réélection, se pavane sur la scène européenne grâce à son poste tournant et sans pouvoir de président du Conseil des ministres de l’UE. Sa première journée dans le costume à Strasbourg a tourné au fiasco, entre huées à l’arrivée, boycott des journalistes à la sortie et attaques de toute part. A l’image de cette journée, Emmanuel Macron a su au fil de son quinquennat dégrader la France sur la scène internationale en même temps qu’il a démantelé la cohésion du pays. Président de l’UPR qu’il a fondé, François Asselineau, candidat à l’élection présidentielle de 2022, revient sur l’actualité de ces derniers jours et dresse un constat accablant du pouvoir en place.

Le Samedi Politique avec Didier Maïsto - Guerre, JO, Covid : Macron ou le pouvoir de la peur !

Publiée le 27/04/2024

La France sombre-t-elle petit à petit dans l’autoritarisme ? C’est la question que l’on pourrait se poser à en juger la censure et l’autocensure pratiquées dans les médias du Système comme l’a confessé fièrement Adèle Van Reeth, la patronne de France Inter, il y a quelques jours. De plus en plus, une doxa s’impose et interdit toutes pensées en dehors de la ligne du pouvoir. Aucune critique quant à la politique étrangère sur la question ukrainienne n’est tolérée. Les questions sociétales, à l’image de la GPA, la gestation pour autrui, sont recouvertes d’un halo de bien-pensance et toutes remarques à rebours de la parole unique sera vouée aux gémonies, diabolisée, raillée et caricaturée.

A l’image du verrouillage totale de la parole pendant la période du Covid-19, la chape de plomb s’abat sur la presse et sur les esprits. Emmanuel Macron règne alors en maître diffusant l’unique bonne parole, parsemée de mensonges et de paradoxes, comme l’a encore démontré le discours de la Sorbonne à quelques semaines des élections européennes.

Ceux qui résistent, après avoir été éborgnés et mutilés dans les rues pendant les manifestations de Gilets Jaunes, sont parfois arrêtés chez eux et placés en garde à vue pour des méfaits imaginaires, des adversaires politiques sont convoqués par la justice ou des officines du pouvoir, des voix discordantes sont salies, souillées. 

Tout est fait pour que vous rentriez dans le rang et les Jeux olympiques vont s’illustrer en nouveau test de dressage et de domestication grandeur nature.

Le journaliste et ancien patron de Sud Radio, Didier Maïsto, ne cède rien à l’oppression ambiante. Il décrypte, démonte et dénonce le poids du pouvoir qui accable les libertés individuelles et appelle à un grand sursaut.