Le samedi politique

Le Samedi Politique avec Alexis Poulin et Jean Messiha - Macron : le quinquennat sans fin

Publiée le 04/07/2020
Crises : C’est le maître mot de la présidence d’Emmanuel Macron. Gilets Jaunes, retraites, pompiers, Affaire Traoré, police, crise sanitaire, rien ne nous aura été épargné. En plein remaniement ministériel, le journaliste Alexis Poulin et le délégué national du Rassemblement National Jean Messiha reviennent sur cette présidence qui n’en finit plus de nuire à la France. Deux semaines après le début des auditions de la commission d’enquête parlementaire, et les déclarations hallucinantes d’Agnès Buzyn, nous avons d’ores et déjà une certitude : rien n’en sortira. Une injustice qui a d’ailleurs poussé de nombreux médecins et familles de victimes à déposer des plaintes. Des plaintes dont l’issue reste bien incertaine au vu de la justice actuelle, cannibalisée régulièrement par les agendas politiques. De quoi mettre à genou cet Etat régalien auquel Emmanuel Macron semble si peu attaché… Et c’est heureux ! Car le passage de Christophe Castaner à la place Beauvau laissera des traces pour longtemps… à l’instar des sorties toujours savoureuses de Sibeth N’Diaye. Une catastrophe quotidienne à deux doigts de nous faire rire.

Le Samedi Politique avec Didier Maïsto - Guerre, JO, Covid : Macron ou le pouvoir de la peur !

Publiée le 27/04/2024

La France sombre-t-elle petit à petit dans l’autoritarisme ? C’est la question que l’on pourrait se poser à en juger la censure et l’autocensure pratiquées dans les médias du Système comme l’a confessé fièrement Adèle Van Reeth, la patronne de France Inter, il y a quelques jours. De plus en plus, une doxa s’impose et interdit toutes pensées en dehors de la ligne du pouvoir. Aucune critique quant à la politique étrangère sur la question ukrainienne n’est tolérée. Les questions sociétales, à l’image de la GPA, la gestation pour autrui, sont recouvertes d’un halo de bien-pensance et toutes remarques à rebours de la parole unique sera vouée aux gémonies, diabolisée, raillée et caricaturée.

A l’image du verrouillage totale de la parole pendant la période du Covid-19, la chape de plomb s’abat sur la presse et sur les esprits. Emmanuel Macron règne alors en maître diffusant l’unique bonne parole, parsemée de mensonges et de paradoxes, comme l’a encore démontré le discours de la Sorbonne à quelques semaines des élections européennes.

Ceux qui résistent, après avoir été éborgnés et mutilés dans les rues pendant les manifestations de Gilets Jaunes, sont parfois arrêtés chez eux et placés en garde à vue pour des méfaits imaginaires, des adversaires politiques sont convoqués par la justice ou des officines du pouvoir, des voix discordantes sont salies, souillées. 

Tout est fait pour que vous rentriez dans le rang et les Jeux olympiques vont s’illustrer en nouveau test de dressage et de domestication grandeur nature.

Le journaliste et ancien patron de Sud Radio, Didier Maïsto, ne cède rien à l’oppression ambiante. Il décrypte, démonte et dénonce le poids du pouvoir qui accable les libertés individuelles et appelle à un grand sursaut.