Breizh Info - On a frôlé le drame mercredi 12 février au soir, à Toulouse, lorsqu’une milice antifasciste a déboulé devant le lieu où devait se tenir une conférence de
François Bousquet, patron de la Nouvelle librairie, et de Robert Ménard, maire de Béziers finalement absent pour l’occasion malgré le fait d’avoir été annoncé.
En plein centre ville de Toulouse ( Au Loft, un site spécialisé dans l’organisation d’événements privés) des antifas armés, ont pu, pendant plusieurs minutes, jeter des fumigènes, des chaises, des barres, sur le service de sécurité tentant de contenir ce déchainement de violence. Les forces de l’ordre, pourtant promptes habituellement à gazer et à réprimer à tout va en manifestation (beaucoup de Gilets jaunes s’en souviennent encore sur Toulouse) n’arrivèrent qu’une fois le gros de l’attaque passé. Et cela alors même que le maire d’une commune importante du sud de la France était annoncé.
« Il y a forcément des questions qui se posent à ce sujet » glisse un participant.
« On se demande même si la Préfecture ne voulait finalement pas de ces incidents. Que se serait-il passé si notre sécurité avait fait usage de sa légitime défense pour neutraliser avec force ces antifas ? On aurait alors assisté à un déferlement médiatique sans précédent ….alors même que ces gens voulaient manifestement nous tuer »Les vidéos parlent d’elles mêmes.
https://twitter.com/i/status/1227675909697789954
A noter le traitement de l’information par la presse mainstream, prise en flagrant délit d’une forme de complicité avec les antifascistes. Ainsi,
La Dépêche titre :
« une conférence que devait animer Robert Ménard, perturbée par des antifascistes », et parle d’un évènement «
perturbé ». Sylvain Duchampt, journaliste manifestement militant pour le service public, à France 3 Occitanie, ose même parler d’un « face à face entre militants ». « Très rapidement le groupe d’extrême-gauche arrive sur place et fait face au service de sécurité composé notamment de membres de Génération identitaire. L’opposition entre les deux parties dure une dizaine de minutes. Les membres d’extrême-droite tenant l’entrée de la salle afin d’empêcher l’intrusion de la cinquantaine de militants antifascistes jusqu’à l’arrivée d’un important dispositif policier, comme le montre cette vidéo de France 3 Occitanie »(...) la suite sur
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