Le maire de Béziers, Robert Ménard, qui était poursuivi pour les propos qu'il a tenu en
2016 sur le "Grand Remplacement" dans les écoles, a été relaxé par la Cour de cassation mardi. La plus haute juridiction française a estimé que les paroles en question ne contenaient aucun « appel ou une exhortation, même implicitement formulés, à la discrimination, à la haine, ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes déterminées ».
https://twitter.com/RobertMenardFR/status/771404889754927104
Choquées par les propos du maire de Béziers, plusieurs associations, dont la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA), le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), la Ligue des droits de l’homme et SOS racisme, ont porté plainte contre Robert Ménard, qui a d'abord été condamné à 2 000 euros d’amende pour « provocation à la haine et à la discrimination » en 2017, avant d'obtenir une annulation de sa condamnation en 2018.
La mairie de Béziers se félicite
Dans un communiqué, la mairie de Béziers s’est réjouie du jugement, en réaffirmant sa fierté d’avoir «
oser d’écrire la réalité de l’immigration en France, parler franchement du changement de population dans certains quartiers de nos villes et évoquer clairement les atteintes de notre mode de vie ».
Fdesouchehttps://twitter.com/RobertMenardFR/status/1135939276749848576
À Revoir : notre Zoom exclusif avec Robert Ménard :"Je suis à nouveau candidat à la mairie de Béziers !"