OJIM - Toutes les deux semaines, le média de Plenel publie une chronique signée de la plume du « philosophe » activiste LGBT trans Paul B. Preciado. Celle du 30 novembre 2020 montre à quel point la confusion gagne les esprits.
Le 30 novembre 2020, Preciado publie donc la chronique 1/20 d’une série intitulée « Hypothèse révolution » et titrée «
L’hétérosexualité est dangereuse ». Ce n’est pas humoristique ou ironique : c’est un article extrêmement sérieux. Son auteur s’appelait autrefois Beatriz et, outre les genres, veut détruire toute forme de normativité. Ses axes de pensée tournent autour de ce qui intéresse les humains depuis l’origine des temps : la sexualité. Versant « transgression » LGBT pour Preciado qui n’a pas encore compris que les sexualités dites minoritaires et le militantisme en leur faveur ne sont plus transgression mais en réalité normatives et son partout.
C’EST LE PROFESSEUR D’UNIVERSITÉ DE VOS ENFANTS…
Bien sûr, un peu à l’image d’un arbitre roumain, nous sommes obligés de dire « le trans » pour désigner Preciado. Non par homophobie mais simplement parce que c’est ainsi qu’il se désigne sans cesse, de façon militante, et que la meilleure façon de respecter l’homme est de respecter son identité – du moins celle qu’il annonce. Paul ex-Beatriz Preciado est donc « trans ». À part cela ? Il est né en 1970 à Burgos, en Espagne. Aujourd’hui féministe, queer, transgenre et pro-sexe, il fut d’abord « lesbienne » et « gouine trans » et s’affirme « trans in between non opéré ». Le « B » en somme. En tout cas, c’est obsessionnel pour qui consulte ses notices biographiques. Il a aussi été en couple avec l’écrivain Virginie Despentes. On n’entre pas dans les locaux de
Médiapart comme cela, il y a quelques épreuves à subir.
Mais… à part cela ?
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