L'avenir s'écrit à Présent
Avec trois publications partenaires et amies :
Politique Magazine,
Le Bien commun et
L’Incorrect,
Présent a créé l’an dernier l’Association de la presse française libre (APFL), dans le but de permettre une défiscalisation des dons. Cette association a été constituée avec l’aide d’un cabinet d’avocats spécialisés, ce qui était une sage précaution car d’autres associations souverainistes et/ou catholiques sont actuellement la cible d’une offensive gouvernementale sans précédent pour tenter de les assécher financièrement.
L’Association de la presse française libre permet à ses affiliés de recueillir des dons de particuliers avec une défiscalisation à hauteur de 66 % du don (plafonné à 20 % de ses impôts). Un don de 100 euros ne coûte dans les faits que 33 euros au donateur, puisque 66 euros sont déduits de ses impôts sur les revenus.
Il y a deux types de motifs justifiant ces dons à
Présent : des motifs défensifs et des motifs offensifs.
Dans le domaine défensif, vous savez que toute la presse écrite est actuellement en difficulté du fait de la concurrence du numérique. Qui plus est, la presse écrite non conformiste subit un boycott des revenus publicitaires. Même
Valeurs actuelles, malgré ses 100 000 lecteurs hebdomadaires, en est la victime. Elle a perdu un tiers de ses revenus publicitaires, par mesure de rétorsion contre ses idées. Les quotidiens, y compris
Libération ou
L’Humanité, ont droit à des publicités payantes de la part d’entreprises publiques, parapubliques, ou de ministères,
Présent, jamais. Comme sous la Révolution, le « pas de liberté pour les ennemis de la liberté » règne toujours.
En 2021, les difficultés sont accrues par une crise sanitaire qui s’éternise : de nombreux kiosques fermés, le couvre-feu, le confinement ont fait chuter les ventes, au point que nous avons suspendu la présence en kiosque de nos numéros de semaine, dont les ventes étaient passées en deçà du seuil de rentabilité.
Nous avons lancé une campagne : « 500 abonnements de plus pour
Présent ». Mais force est de constater que cette campagne, qui se prolongera toute l’année 2021, n’a pour l’heure que faiblement accru le nombre de nos lecteurs.
Nous éditons chaque jour un journal de qualité – vous nous le dites – mais le volume de nos abonnés, papier ou Internet, reste insuffisant. Qui plus est, ces nouveaux lecteurs optent essentiellement pour l’abonnement Internet (9,50 euros par mois), tandis que le volume des abonnés papier (30 euros par mois) progresse trop faiblement Après quatre mois de campagne, nous sommes encore loin des 500 lecteurs nouveaux nécessaires.
Tout peut basculer dans un sens ou dans l’autreMais il y a aussi des motifs d’ordre offensif qui justifient votre soutien. Nous vivons un moment historique : sur les questions d’immigration, d’islamisation, d’insécurité, de liberté, de préservation de nos racines, des seuils sont atteints. Tout peut basculer dans un sens ou dans l’autre. Le gouvernement sent bien qu’il peut être balayé. Les élections de juin 2021 et celle d’avril 2022 seront déterminantes. C’est un choix de société qui se jouera.
Il n’est pas possible que
Présent soit faiblement audible, voire absent, à ce moment crucial. Nous avons donc besoin de vous, nous avons besoin de vos dons, nous avons besoin de lecteurs supplémentaires, en particulier dans la jeune génération qui fuit massivement le politiquement correct, mais qui ne connaît pas
Présent. C’est le volet offensif de l’aide demandée.
Présent est un outil, un outil de formation politique, culturelle, spirituelle. Ceux qui se battent sur le terrain ont besoin de cet outil. Et nous ne pouvons compter que sur vous pour que nous puissions assurer cette mission.
Présent