Selon un article publié jeudi 29 novembre dans
Le Parisien, l'interdiction de la fessée en Suède depuis 1979 a fait baisser la maltraitance, la délinquance et les suicides. 86% des Suédois affirment ne jamais avoir été frappées et les parents n'envisagent même plus de punir leurs enfants à l'aide de ce "châtiment corporel". Entre 1982 et 1995, les placements en foyer ont diminué de 26%, les vols et la consommation de drogue et d'alcool chutent également. Des prisons ont miraculeusement fermé par manque de détenus. En bref, des "spécialistes" affirment qu'une éducation "non-violente" est bénéfique.
En France, on considère que trois quarts des cas de maltraitance sont causés par des parents qui n'ont pas su gérer l'escalade de la violence.
Le modèle éducatif suédois à néanmoins un problème... l'interdiction de la fessée à conduit à une certaine forme de laxisme. David Eberhard, psychiatre, dénonce une absence de fermeté des adultes, la perte des repères de l'enfant et les dérives de l'enfant-roi.
Pour informations ceci dit, l'article du Parisien parait en 2018, se basant sur des chiffres datant de...plus de 23 ans ! Il suffit d'observer attentivement les
statistiques du crime en suède pour apercevoir une escalade de la délinquance dès les années 2012-2014. La Suède possède notamment en 2013 un des taux de viol les plus élevés du monde ! (wiki)
Enfin, une petite vidéo parmi d'autres nous montre une cité suédoise en août 2018 où des jeunes ont sans doute trop été victimes de fessées, ou pas assez? Telle est la question.
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