Allemagne : Liste d'agressions sexuelles par les migrants.
Depuis l’ouverture des frontières par la chancelière démocrate-chrétienne
Angela Merkel en 2015, l’Allemagne est devenue un pays peu sûr pour la gent féminine. Si la presse régionale relate ces actes parmi les
faits divers, les médias nationaux considèrent quasiment à chaque fois qu’il s’agit d’un
cas unique d’importance médiatique purement locale et évitent, par conséquent, de traiter le problème.
Ainsi,
ce samedi 3 novembre 2018, un
Ghanéen de 23 ans a violé, vers 17 h 30, une
jeune femme de 17 ans à Stuttgart, dans les jardins du château.
Vers 8 h, à Fürth, une dame a été tirée dans un buisson,
menacée avec un couteau et violée par un homme de type méditerranéen parlant l’allemand avec un accent étranger.
Toujours le même jour, un éleveur a trouvé, au matin, un individu d’environ 25 ans à la peau sombre et au visage mince, à Velden, près de Landshut,
sodomisant un de ses moutons. L’animal a dû être abattu.
Dans la
nuit du 2 au 3 novembre, à Essen, un homme de type méditerranéen a agressé une
dame de 27 ans et l’a touchée aux parties intimes avant de s’enfuir. Voyant que la victime le suivait ensuite à distance, l’agresseur lui a jeté des pierres.
Le
2 novembre, un réfugié
érythréen de 19 ans a comparu devant la Justice à Halle-sur-Saale pour le
viol d’une dame, au sein d’un département psychiatrique, et pour le fait qu’il ait blessé au même endroit une autre femme.
Le
1er novembre, vers 19 h 30, une dame de 40 ans a été agressée sexuellement à Fürstenfeldbruck et a pu éviter le pire en se barricadant. L’agresseur mesure 1,60 m, a les cheveux sombres, de grosses lèvres et un nez large et court.
Le 31 octobre au soir, lors de la « Marche des zombies » à l’occasion de la fête d’Halloween à Essen, un
migrant jordanien a touché sept femmes aux parties intimes.
Fin octobre, une sombre affaire de
viol de masse, commis au mois de septembre à Munich par
six Afghans demandeurs d’asile non reconnus, sur une
adolescente de quinze ans, a émergé.
À
Marsberg, le 30 octobre vers 1 h du matin, une dame de
19 ans a été agressée,
tirée au sol et violée par un homme de type méditerranéen.
Le
28 octobre, à Waghäusel, au sein d’un centre pour demandeurs d’asile,
un jeune garçon de 15 ans a été violé par deux hommes.
À Brême,
lors d’une fête populaire, le 27 et le 28 octobre, de nombreuses
agressions sexuelles ont été commises par des
Afghans, Pakistanais, Syriens, Turcs et « Allemands » de papiers.
La police a arrêté, le 25 octobre, à Fribourg-en-Brisgau,
un Érythréen de 28 ans. L’ADN de l’individu montre qu’il est impliqué dans
plusieurs viols sur des femmes,
mais aussi sur des moutons et des chèvres.Le 19 octobre, lors du procès portant sur le
viol, à Höhenkirchen-Siegertsbrunn, par deux Afghans, d’une
fille de 16 ans sur un parking situé derrière un supermarché, les accusés se sont endormis à plusieurs reprises.
Un cas particulièrement sordide, qui s’est déroulé à Fribourg-en-Brisgau le 14 octobre, a cependant eu une répercussion au niveau national et même international.
Majd H. a, dans une discothèque,
vendu une tablette d’ecstasy à une étudiante de 18 ans qui ne le connaissait pas, puis lui a offert un verre. La jeune femme s’est retrouvée dans un état second. Elle a ensuite quitté, vers minuit, le lieu en compagnie de Majd H. Celui-ci l’a
abusée sexuellement dans un buisson se trouvant à proximité.
D’autres individus ont ensuite violé la jeune femme inconsciente. La police a arrêté huit auteurs, parmi lesquels figurent sept
Syriens. Majd H. était connu de la police pour des faits de mœurs.
Interrogée en septembre 2017 par une citoyenne lors d’une émission de télévision sur la chaîne publique
ZDF sur l’augmentation des viols et agressions sexuelles due à l’arrivée de nombreux hommes migrants,
Angela Merkel avait répondu que des délits sexuels horribles existaient déjà avant la migration, que les auteurs de ces faits doivent quitter le pays, mais qu’elle ne voyait
pas de problème global en la matière.
Source :
Boulevard Voltaire