PAR CHÈQUE
Envoyez votre chèque à l’ordre de l’ASNA (Association de soutien au nouvel audiovisuel) à :
TV Libertés
BP 400 35
94271 Le Kremlin Bicêtre cedex
Judith Reisman, conférencière et essayiste américaine, surtout connue pour sa critique des travaux et de « l’héritage intellectuel » du docteur Alfred Kinsey, s’est éteinte à l’âge de 84 ans. Elle a notamment écrit de nombreux essais autour de la pornographie, de la pédophilie et de la banalisation de la sexualité dans l’espace public, devenant ainsi une figure de la lutte contre les pédocriminels.
Dans les années ’60 et ’70, alors que la révolution sexuelle transformait les mœurs et la structure des sociétés occidentales, les « rapports Kinsey », découlant des recherches du docteur du même nom, en furent la caution scientifique, et même plus, la caution morale puisqu’il se disait que le puritanisme avait étouffé des pulsions naturelles et saines, et que chacun, homme, femme et même enfant, allait enfin être libéré.
Publiés en 1948 et 1950, ces rapports sortirent rapidement des cercles universitaires pour inonder les publications grand public : journaux, magazines féminins, et bien sûr presse gravitant autour des mouvements pour la libération des femmes. Alors que le « jouir sans entraves » de Mai–68 allait faire florès, ces rapports nous disaient comment jouir, avec qui, combien de fois et par quelles stimulations, ouvrant la voie à ce que l’ONU est en train d’établir : des « droits sexuels » pour tous, dès l’âge de 10 ans. Car les prémisses des travaux de Kinsey – biologiste spécialiste des insectes – sont qu’en matière de sexualité il n’y a pas de normes, il n’y a que des comportements qu’il prétend observer comme il a observé les guêpes : homosexualité, sado-masochisme, voyeurisme, pédophilie et zoophilie ne sont ainsi que des variations d’une sexualité épanouie.
Mais pour établir ces rapport, Kinsey va puiser à toutes les sources : prostituées, prisonniers, enfants à peine pubères et même nourrissons, ce qui n’empêchera pas leur parution d’être saluée comme une avancée scientifique, alors qu’ils n’étaient qu’un instrument de la promotion de l’idéologie libertaire et de la destruction des structures familiales.
C’est en 1996, après le viol de sa propre fille âgée de 10 ans par un jeune de 13, que Judith Reisman se met à étudier les rapports Kinsey. Ayant entendu répéter à cette terrible occasion que « les enfants sont sexuels dès la naissance », elle a voulu comprendre d’où venait cette assertion qui semblait largement répandue. Les travaux de Kinsey, après avoir réussi à faire admettre que tout le monde est peu ou prou homosexuel, étaient bien à l’origine de l’étape suivante : la sexualisation des enfants, que nous observons, plus de vingt ans plus tard, dans les nombreux scandales sexuels.
Consciente des enjeux civilisationnels et moraux qui se cachaient derrière les tableaux froids de rapports qui se présentaient comme scientifiques, Judith Reisman est partie en guerre contre ces études, les méthodes employées, la pertinence des échantillons, mais aussi et surtout contre leurs conséquences – la « restructuration » des cerveaux – qui se font sentir si dramatiquement aujourd’hui, notamment à travers les scandales sexuels qui n’en finissent plus de défrayer la chronique, ou autres « enfants transgenres ».
Judith Reisman, militante antipédophilie et historienne américaine spécialiste de la révolution sexuelle et d'Alfred Kinsey, vient de rendre son âme à Dieu. Qu'elle repose en paix et nous inspire ! @Kontre_Kulture pic.twitter.com/ztO1C2axod
— Vexilla Galliae (@VexillaGalliae) April 9, 2021
Voir aussi: Judith Reisman présente le livre « Kinsey, la face obscure de la révolution sexuelle » (Le Salon Beige) / Le Livre
PAR CHÈQUE
Envoyez votre chèque à l’ordre de l’ASNA (Association de soutien au nouvel audiovisuel) à :
TV Libertés
BP 400 35
94271 Le Kremlin Bicêtre cedex
PAR VIREMENT
IBAN : FR7630087338120002019010161
Bic : CMCIFRPP
ATTENTION : pour recevoir un reçu fiscal, envoyer un courrier avec votre nom, prénom, mail, téléphone, adresse et le montant du virement.
Merci d’indiquer votre adresse mail dans l’objet du virement
(entre 9h et 19h, du lundi au samedi) – Secrétariat au 06 77 60 24 99