Breizh Info - Malgré l’omerta généralisée entretenue sur la délinquance à Nantes – et ailleurs pour le 14 juillet, le gouvernement préférant visiblement casser le thermomètre plutôt que de s’attaquer aux causes de la maladie – nous avons établi un bilan non exhaustif des désordres et de la délinquance sur voie publique à Nantes pour le 14 juillet. Il faut y ajouter évidemment les
rodéos à Nantes-Bellevue et les rues barrées au centre-ville près de l’hôpital suite à la victoire de l’Algérie à la CAN.
Cinq voitures incendiées à Beaulieu
Dans la nuit, cinq voitures ont été incendiées à Beaulieu, dont quatre par propagation. Selon nos informations, policiers et pompiers venus les éteindre ont été accueillis par des caillassages. Par ailleurs, d’autres quartiers étaient en proie au non-droit et aux rodéos suite à la victoire algérienne à la CAN.
Au moins une autre voiture a brûlé à Nantes – avenue Agrippa d’Aubigné à Pont du Cens, près du foyer Adoma. Une autre voiture brûlée nous a été signalée à Orvault, avenue de Chasteland, dans le quartier «
sensible » de Ferrière. Non loin, à la station Esso de Plaisance, les distributeurs de friandises ont été cassés et pillés.
Au total de sept voitures brûlées s’ajoute un certain nombre de bagarres – dont une vers 0h36 au bal des pompiers caserne Gouzé (Saint-Clément), malgré le filtrage important aux entrées. Elle aurait été causée aux abords d’un débit de boisson par des délinquants de cité.
Pour la police nantaise, un 14 juillet plutôt « calme »
Malgré ces faits, nombreux sont les policiers nantais à trouver que le 14 juillet a été plutôt «
calme », voire, «
il ne s’est rien passé de plus par rapport aux habitudes ». Auto-censure – les chiffres de la délinquance sont jugés sensibles à Nantes alors que le paradis socialiste ressemble de plus en plus à un
enfer du multiculturalisme,
surtout pour les femmes – ou appréciation réaliste ?
«
Chaque nuit à Nantes plusieurs voitures brûlent, parfois c’est une, parfois on en a 10 d’un coup, souvent deux ou trois. Alors le 14 juillet, ce n’est plus impressionnant, c’est comme le premier de l’An, c’est devenu un jour comme les autres. En plus la presse [mainstream]
regarde ailleurs et les juges sont laxistes, les incendiaires sont presque invités à recommencer tant la réponse judiciaire ressemble à une tape sur l’épaule du genre, c’est pas bien mon petit. Du coup on se décourage un peu aussi », se confie un policier nantais.
(...) Lire la suite sur
Breizh Info