A gauche toute : la mainmise culturelle de l’audiovisuel public
Le service public de l’audiovisuel engrange, tenez-vous bien, 600 millions d’euros de notre argent chaque année.
N’oublions pas en effet que ces chaînes et radios ne vivent que par nous, et que leurs intervenants y sont souvent royalement rémunérés, pour y déverser quotidiennement une pensée de gauche qui n’appartient qu’à eux, mais dont ils croient bon de tenter de la faire infuser dans toutes les cervelles.
Réunissant près de 15 millions d’auditeurs chaque jour, les radios du service public teintent le débat national. Très épargnées par la publicité, bénéficiant d’un déploiement d’émetteurs inégalé sur tout le territoire, France Info, Inter ou culture sont à l’aise pour déverser leur discours orienté et moralisateur. Tout y passe : le climat du GIEC, les admonestations de Greta Thunberg, l’humour de caniveau, les moqueries anti-chrétiennes, les attaques personnelles et méprisantes contre des journalistes ou personnalités de droite, comme Charlotte d’Ornellas, traitée de façon innommable, comme il ne serait pas supporté venant d’une radio privée..
Le débat est toujours truqué, dans la caricature permanente, le mépris et la condescendance pour tout ce qui ne pense pas selon leurs critères.
Aujourd’hui, élections prochaines obligeant, quelques rares invitations “autres” se profilent, mais avec des temps d’antenne incomparables et certaines personnalités, comme Eric Zemmour par exemple, ne sont jamais invitées et sont même officiellement “bannies“ du service public.
Souriez, c’est vous qui payez
CH
Européennes : Jordan Bardella maintient son avance dans les sondages, la candidate macroniste en difficulté
Un récent sondage Ifop-FIducial pour Le Figaro, LCI et Sud Radio confirme la position dominante de Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement National, qui maintient une avance confortable sur les autres candidats avec un score au-dessus des 30%. Malgré une légère érosion, Bardella demeure en tête avec 31,5% des intentions de vote. En revanche, la candidate macroniste, Valérie Hayer, peine à décoller, stagnante à 19%.
Le Figaro / Illustration